
Aux enfants qu'elle guide, à l'homme consolé,
Elle élève le c½ur et calme la souffrance,
Comme un esprit des cieux sur la terre exilé.
Courbé par le travail ou par la destinée,
L'homme à sa voix s'élève et son front s'éclaircit ;
Toujours impatient dans sa course bornée,
Un sourire le dompte et son c½ur s'adoucit.
Dans ce siècle de fer la gloire est incertaine :
Bien longtemps à l'attendre il faut se résigner.
Mais qui n'aimerait pas, dans sa grâce sereine,
La beauté qui la donne ou qui la fait gagner ?
marie261, Posté le mercredi 22 avril 2015 00:16
Nell4159 a écrit : " "
bonjour nelly je te souhaite une belle journée gros bisous